Les lampes halogènes ont peu de variation de flux en fonction de leur durée de vie.
Elles éclairent de façon assez régulière du premier au dernier jour. On a pour cela simplement introduit un corps “halogène” dans l’ampoule. Les vapeurs de tungstène, en se recombinant avec ce corps, se transforment et ne se déposent plus sur l’ampoule, partie la plus froide, mais sur le filament, partie la plus chaude, en le régénérant.
Cela permet d’augmenter la température à laquelle est porté le filament.
Le résultat est une température de couleur plus élevée (la lumière est plus blanche). L’inconvénient est que la température est telle que le verre risque de se ramollir. Aussi, ces ampoules doivent-elles être fabriquées en quartz (ne pas toucher avec les doigts).
(À noter : Le cycle halogène ne se produit qu’à partir d’une certaine température. Aussi, si un projecteur est laissé à une intensité trop faible pendant longtemps, son ampoule en quartz noircira.)
Important : Il ne faut pas équiper ses découpes au hasard.
Certaines lampes sont bulbées et si les découpes possèdent un condenseur, l’ampoule risque de le toucher ou de trop s’en approcher. Ainsi, le condenseur risque de se fendre, la lampe de griller, ou bien les deux à la fois. Il faut choisir dans ce cas une ampoule tubulaire de moindre encombrement.